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Debrief 24/25 FCG / VRDR : le débrief

El_Presidente

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25 Mars 2021
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Grenoble à l’usure

Le FCG est une équipe paradoxale : après le 1er bloc du championnat, les grenoblois n’ont pas retrouvé la plénitude de leurs capacités, celles qui leur avaient permis d’atteindre la finale du championnat l’an passé. Aubin Huerber le rappelait cette semaine au micro de France Bleu Isère : « changer pas mal de joueurs à l'intersaison, on savait à quoi s'attendre. Sur le premier bloc, on n'est pas trop mal sur le plan comptable, donc là on entame ce deuxième bloc avec de la sérénité, mais on sait qu'il y a encore du travail. »

Et du travail, effectivement, il y en a encore beaucoup à faire. Le match d’hier soir l’a de nouveau prouvé : pendant 65 minutes, le FCG a été dominé dans le jeu par son voisin de Valence-Romans. Les drômois ont mieux tenu le ballon que les isérois. Le peu de fois où le FCG avait la gonfle, ce fut un festival d’en-avant, de coup de pied, de mauvais choix, de jeu individuel, bref pas de quoi enflammé un Stade des Alpes garni de quelques 9700 supporters.

Une rencontre qui voyait un changement de dernière minute dans les rangs du FCG puis que Pio Muarua victime d’un pépin physique était contraint de déclarer forfait ce qui entrainait la titularisation d’Antonin Berruyer au poste de n°8 et l’entrée sur le banc de Richard Hardwick.



DSC_5809 (Copier).JPGPourtant, c’est le FCG qui va dégainer le 1er. Si les deux buteurs du soir, Clément côté FCG et Moura pour le VRDR avait ouvert le compteur pour leur camps respectif, ce sont les grenoblois qui vont aller derrière la ligne, en force, grâce à l’ailier Geoffrey Cros à la 11ème minute. Les grenoblois venaient de valider une séquence longue de présence dans les 22 adverses. Plusieurs pénalités contre le VRDR et plusieurs tentatives, soit en jouant à la main, soit en allant touche, finissait par déboucher sur l’essai de Cros après un groupé pénétrant. Clément transformant en coin, le FCG menait 10 à 3 après seulement 10 minutes. Et puis, plus grand-chose à se mettre sous la dent pour les supporters isérois. De nombreuses fautes de mains du FCG laissaient le ballon à Valence-Romans qui le tenait plutôt bien. La défense grenobloise étant féroce, le jeu se cantonnait au milieu du terrain. Moura ajoutait 3 points sur pénalité puis Meret d’un superbe drop de 45 mètres faisaient revenir leur équipe à 1 point du FCG à la 30ème minute (10-9). Le FCG n’arrivait pas à attaquer. Chaque tentative n’amenait aucun franchissement pour des grenoblois trop appliqués et qui ne proposaient pas ce petit grain de folie qui leur aurait permis de faire sauter le verrou drômois. Pire même, le VRDR va -lui – réussir à franchir et c’est un ancien grenoblois, Louis Marou, qui va planter le 1er essai des visiteurs au pied des poteaux. Un essai qui mettra de longues minutes a être validé par l’arbitre qui va revisionner une bonne quinzaine de fois une suspicion d’obstruction sur Mathis Sarragallet, empêchant le talonneur de défendre sur l’action. Une obstruction qui n’en était pas une selon Benjamin Beuriot. Le VRDR passait devant après que Moura eu transformé. 16 à 10 à 3 minutes du terme de la 1ère période. Le FCG est connu pour être une équipe à réaction, ce qui a le dont d’agacer les joueurs eux-mêmes. Ils vont encore le prouver, puisque dans la minute suivante, c’est le pilier Sud-Africain Jonas Jonker qui va inscrire le 2ème essai de son équipe, en force à nouveau, après un bon travail du pack grenoblois. Clément validant l’essai par une nouvelle transformation en moyenne position, le FCG rentrait au vestiaire en menant 17 à 16.

Une première mi-temps assez insipide avec peu de jeu, beaucoup de coup de pied et un réalisme froid des grenoblois qui limitaient la casse grâce à leur pragmatisme, une défense solide et une discipline retrouvée car très peu sanctionnée par le corps arbitral.



20 dernières minutes de folie

DSC_6035 (Copier).JPGLe FCG revenait sur la pelouse avec sans doute la volonté de faire craquer une équipe du VRDR sans génie mais toujours au contact. Clément permettait au FCG de prendre un tout petit peu d’air en réussissant une pénalité d’entrée. 20 à 17 avant une 1ère vague de changement qui voyait l’arrivée sur la pelouse de Javakhia, de retour après sa suspension, et la 1ère de Marc Palmier à l’ouverture du FCG. Le VRDR restait dans la course grâce à la botte de Moura avant que Palmier ne lui réponde dans la foulée. 23 à 19 et une rencontre toujours cadenassée par les défenses et le peu d’inspiration des joueurs sur le terrain. Bastien Soury, qui venait d’entrer, tentait une percée à l’entrée de ses propres 22 mètres pour réveiller les siens. Sur l’action le talonneur grenoblois perdait le ballon, récupéré par Rodor qui s’infiltrait parmi des grenoblois médusés et s’en allait dans l’en-but inscrire un essai de filou. Si filou, que Monsieur Beuriot visionnait l’action et s’apercevait que le demi de mêlée valentinois avait commis un en-avant en faisant sauter le ballon des mains de Soury. Frayeur pour le FCG qui n’était pas vraiment serein.

Meret ne s’en laissé pas compter et l’arrière du VRDR passait son 2ème drop de la soirée pour ramener son équipe à 1 point du FCG (23-22 67ème). Le souffle du VRDR sur sa nuque a eu pour effet de transformer le FCG. A partir de ce moment-là, le public du SDA a retrouver son équipe. Celle qui arrive a mettre de la vitesse et de la puissance dans ses actions. Javakhia signait son retour en aplatissant avec sa rage habituelle après une action qui a vu le FCG remonter le ballon depuis la ligne médiane en enchaînant les passes et après que Barnabé Couilloud eu joué un petit coup de pied à suivre dans les 22 repris par Farnoux et validé donc par Javakhia. Les remplaçants grenoblois faisaient du bien. 30 à 22 alors qu’il restait 10 minutes à jouer. Le FCG était sur un temps fort. Ils pensaient même au bonus offensif, improbable rêve quelques minutes auparavant. Revenus tout de suite dans les 22 du VRDR, Grenoble mettait leurs adversaires à la faute. Résultat un carton jaune était brandit à l’encontre de Deligny. Javakhia, déchainé, renversait ses adversaires pour inscrire un doublé et donnait le BO à son équipe ! Hallucinant !! le SDA se levait et communiait avec ses joueurs. 37 à 22 après la transformation de Palmier. Les grenoblois venaient d’éteindre le VRDR. Et dans la noirceur des têtes de Valence-Romans, c’est un éclair qui va définitivement les faires disjoncter : Guerswin Mouton, l’ailier namibien du FCG, qui venait d’entrer sur la pelouse allait faire lever le stade des Alpes. Servi par Fusier aux 50 mètres, il prenait l’intervalle en une accélération foudroyante et laissait sur place la défense du VRDR, arrivé aux 22 mètres, il mettait une seconde accélération pour éliminer le dernier défenseur et finissait son action entre les perches !! du grand art et, enfin, du FCG flair sur la pelouse grenobloise. ! Mouton n’avait été suivi par personne sur l’action. Le grenoblois validait la victoire de son équipe et Palmier la parachevait en transformant : 44 à 22 avant de jouer les 2 dernières minutes. 2 minutes au cours desquelles, le FCG faisait cavalier seul : ce fut le cas de Wilfried Hulleu qui résistait à 3 placages sur son aile gauche avant d’être repris alors que l’on pensait assister à un nouvel essai.

DSC_6147 (Copier).JPG
Le FCG venait de remporter une victoire nette au score avec un bonus offensif qui lui permet de revenir à la 5ème place au classement à seulement 2 points du leader.

Une victoire que les 10 dernières minutes de folie ne doivent pas transformée en triomphe. Le FCG a encore des lacunes. Durant 65 minutes, les grenoblois ont ramé, la faute à des approximations et des initiatives individuelles coupant le porteur du ballon de ses soutiens et à une animation de jeu assez pauvre. Pourtant dés que la confiance revient un peu, le FCG est capable d’actions de classe.

Il faudra continuer sur le rythme de cette fin de match la semaine prochaine sur la pelouse de Béziers avant de se déplacer une 2ème fois d’affiler le 25 octobre à Montauban.



Les + :

- les entrées des joueurs du banc évidemment : Javakhia, Soury, Couilloud, Thomas et Mouton pour ne citer qu’eux, ont amené de la puissance et de la fraicheur faisant craquer le VRDR

- la discipline : seulement 6 fautes concédées par le FCG !

- Julien Farnoux : l’arrière a réalisé un match très solide sur les ballons hauts et s’est montré dangereux sur ses relances

- Tommy Raynaud : le pilier grenoblois a passé 70 minutes sur la pelouse en tenant haut la baraque et en étant l’aboyeur attendu sur la pelouse



Les - :

- les 65 premières minutes où l’on s’est ennuyé. Le FCG a encore du travail, tout le monde ne cesse de le répéter. Oui c’est vrai, néanmoins le temps passe et après 6 rencontres, il n’y a pas de réelle progression évidente. On attend mieux d’un prétendant annoncé à la montée

- Max Clément, impeccable face aux perches, a encore une marge de progression qu’il doit franchir. La rentrée de Palmier a été intéressante. Peut-être titulariser l’ancien aurillacois la semaine prochaine ?

- La puissance grenobloise qui se résumée à 3 joueurs : Javakhia, Muarua et Nansen. 2 sont absents et le géorgien a secoué un ensemble un peu léger. La 3ème ligne grenoblois qui a beaucoup d’activité manque de puissance. Sirgel est arrivé mais ne serait sur la pelouse que début novembre…
 
Dernière édition:
Bonjour la team du raffut,

voici également mon débrief( après un long moment de réflexion)



Un bonus pour un déclic



Pour le retour à la compétition, l’heure n’est plus du tout à gamberger et à repenser à la préparation raccourcie de la nouvelle saison. En effet, Nicolas Zarnardi rappelle les propos du président Patrick Goffi dans son article d’avant match publié dans le midi Olympique : « Comptablement, après trois déplacements en cinq rencontres, on n’est pas à plaindre. Mais sportivement, on est encore loin du compte. Je veux bien entendre l’argument du besoin de temps mais à mon sens, il a assez duré. Lors du prochain bloc, on doit être bien mieux en place et j’attends à ce titre une grosse réaction face à Valence-Romans. » Visiblement, le message a été reçu et entendu par le staff et les joueurs. A l’arrivée, victoire bonifiée des Rouge et Bleu, 44 à 22, avec un dernier quart d’heure époustouflant qui a fait vibrer le stade. Cependant, la victoire, avec à la clé, le point du bonus en prime, fut longue à se dessiner.



Une bonne mise en action

Après un coup d’envoi donné par les Valentinois, la défense grenobloise, pleine d’envie, se met rapidement à la faute, offrant une pénalité au buteur des Damiers. Fort heureusement, le ballon fuit le cadre. En revanche, Max Clément ne loupe pas la mire quelques minutes plus tard, récompensant un très bon contest du capitaine Thomas Lainault (3e) : 3-0. Cela ne refroidit pas pour autant les ardeurs des Drômois qui égalisent à la suite d’une pénalité récoltée par leur pack sur mêlée fermée. La partie démarre sur un bon rythme avec des lancements de jeu de chaque côté. Les hommes du duo Nadau-Pézery veulent absolument emballer la rencontre et imposer la cadence à l’image d’une pénalité vite jouée à la main par Eric Escande, ce qui permet de déplacer le jeu dans la zone de marque. Nouvelle faute des Drômois à 5 mètres de l’en-but. Les Grenoblois décident l’épreuve de force en à la jouant à la main. Echec à quelques encablures de la ligne. Mêlée, introduction grenobloise. Nouvelle pénalité drômoise, la troisième en trois minutes. Intelligemment, les Isérois changent d’option après le jeu à la main, ils choisissent la pénaltouche. Choix judicieux, avec un maul pénétrant qui fait reculer la défense des Damiers et qui permet à Geoffrey Gros d’inscrire le premier essai de la rencontre(10e) : 10-3. Le match démarre parfaitement pour les Dauphinois dont l’engagement fait plaisir à voir. Sur le renvoi, nouvelle pénalité contre Valence avec un nouveau grattage au sol du ballon par Antonin Berruyer ! Je me dis alors qu’à ce rythme, l’addition risque d’être salée pour le VRDR. Néanmoins la séquence offensive qui suit ne donne rien, si ce n’est, une pénalité contre les Grenoblois qui va, sans doute, refroidir les ardeurs des attaquants isérois.



Une longue période de doute

Contrariés par deux nouvelles pénalités, dont une convertie (17e, 10-6), les Grenoblois perdent leur allant en attaque avec un jeu trop à plat, avec une charnière qui n’alterne pas le jeu et sont, maintenant, dominés dans l’occupation et la possession pendant vingt minutes. Les Drômois se créent une très grosse occasion avec un ballon à suivre dans la zone de marque, aplati in-extrémis dans l’en-but par Julien Farnoux. A peine quelques plus tard, Lucas Meret, le demi-d ’ouverture du VRDR claque un drop (27e, 10-9). En pleine confiance, les Drômois insistent sur leur temps fort et marquent un essai par un ex-Grenoblois, Louis Marrou, à la suite d’un beau mouvement (35e, 10-16). L’arbitre a un doute et demande la vidéo. Sur les images, on voit un écran sur Mathis Sarragallet, sujet à discussion parce que pour certains, l’écran est évident, pour d’autres, non. Quoi qu’il en soit, l’essai est validé ! Gros coup de froid dans les tribunes du Stade des Alpes dans le camp des supporteurs Rouge et Bleu. C’est, bien sûr, l’euphorie dans le camp des supporteurs drômois venus en nombre et qui brandissent leur beau drapeau damier.

Piqués au vif, les coéquipiers de Thomas Lainault réagissent immédiatement et obtiennent une pénalité transformée en pénaltouche. Même schéma tactique que pour le premier essai. Cette fois-ci, c’est le pilier gauche, Johannes Jonker, qui s’écroule dans l’en-but avec le ballon ! Du bord de touche, le pied de Max Clément ne tremble pas et transforme le deuxième essai de son équipe (37e, 17-16). La mi-temps est sifflée sur ce petit point d’avance pour les Grenoblois qui ont soufflé le chaud et le froid durant ces quarante premières minutes. Le jeu d’attaque grenoblois est resté sur un jeu trop stéréotypé, les joueurs recevaient le ballon sans vitesse. Encore des pertes de balle, à l’image de la dernière offensive où le ballon tombe bêtement, alors qu’il y avait un deux contre un, qui pouvait déboucher sur un essai de 80m.



Les statistiques de la première mi-temps :

Touches (Grenoble) :6, 100%, avec deux belles conquêtes qui amènent les deux essais.

Touche (VRDR) : 5, une touche pas droite, et deux ballons volés.

Mêlée (Grenoble) : 3, une pénalité de chaque côté.

Mêlée (VRDR) :2, aucune faute.

Pénalité : 5 contre Grenoble, 7 contre Valence Romans.



Du doute, puis un quart d’heure de folie



Au retour des vestiaires, on assiste encore à un scénario quasi identique à la première période. Grenoble n’arrive pas à imposer son jeu. Grenoble doute, n’ose pas à affronter la ligne d’avantage ou manque de puissance. Le jeu est brouillon. On sent les joueurs en perte de repères, d’où des ballons qui tombent, des joueurs mal placés. Les Valentinois ne se découvrent pas, ne font aucune relance à la main. Ils se content de réexpédier le ballon dans le camp des Grenoblois et attendent les fautes. Les deux équipes jouent sur un faux rythme. Le staff grenoblois sent beaucoup de fébrilité dans l’équipe et procède à des changements pour donner un nouveau souffle. Choix payant. Les finisseurs, autrefois appelés les remplaçants, impulsent un nouvel engagement, une nouvelle énergie. Malgré tout, on sent que les Isérois ne jouent pas sereinement face à un adversaire qui attend le coup parfait pour contrer. Sur un ballon mal négocié à la sortie d’une touche, le VRDR marque un essai, logiquement refusé. Le score évolue grâce à la botte des buteurs. Max Clément marque deux pénalités, contre une pénalité et, de nouveau un drop de Lucas Meret (66e, 23-22). Giorgi Javakhia, Cody Thomas, Barnabé Couilloud, Marc Palmier, Bastien Soury sonnent la révolte. Sur une belle séquence, qui part d’une bonne touche, les Grenoblois s’enfoncent dans le camp adverse en gagnant les collisions, les unes après les autres. Enfin ! Pour parachever le travail de sape des avants, le demi-de-mêlée, Barnabé Couilloud crée une brèche dans la défense drômoise en prolongeant une action au pied. Le soutien est immédiat. Sur un dernier effort Giorgi Javakhia conclut l’action dans l’en-but face à la tribune des supporters qui crient leur joie ! (69e,30-22). En pleine confiance, l’équipe poursuit sur le même tempo. Les Valentinois sont à la faute et se retrouvent en infériorité numérique. Les hommes de Patrick Pézery obtiennent une pénalité sur mêlée fermée. L’équipe choisit la pénaltouche plutôt que les points. Choix payant. Sur une superbe combinaison, Giorgi Javakhia reçoit le ballon bien lancé, s’enfonce dans le rideau défensif des Damiers et casse trois plaquages sur 10 m. Inarrêtable ! Quatrième essai, celui du bonus offensif provisoire. (74e, 37-22). Quelques minutes plus tard(78e), c’est au tour de Gerswin Mouton de faire un festival au milieu de la défense des Damiers. Sur un ballon récupéré, Gerswin se lance, met la vitesse et les appuis pour mettre dans le vent un à un les défenseurs valentinois à bout de souffle. Cinquième essai ! (44-22). Durant ce dernier quart d’heure de folie, les attaquants grenoblois ont décidé d’augmenter le niveau d’engagement pour fracasser la défense du VRDR. Bien joué le staff, bien joué les finisseurs. Victoire bonifiée des Rouge et Bleu 44-22. Premier bonus offensif de la saison, en espérant qu’il sera déclencheur d’une spirale positive pour la suite. De plus, j’espère que ce quart d’heure de folie servira de référence aux joueurs pour imposer leur rugby. Réponse vendredi prochain à Béziers où la saison dernière, l’équipe avait sombré (six essais encaissés !).

Les statistiques de la deuxième mi-temps :

Touches (Grenoble) :8, trois ballons perdus.

Touche (VRDR) : 7, 1 ballon volé.

Mêlée (Grenoble) : 6, une pénalité de chaque côté.

Mêlée (VRDR) :1, un bras cassé contre le VRDR.

Pénalité : 2 contre Grenoble, 5 contre Valence Romans et un carton jaune.
 
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