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Match 21/22 Carcassonne / FCG : le débrief

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25 Mars 2021
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Carca-FCG-SCORE.jpg

Grenoble : c'est grave docteur ?
Le FCG se rendait sur la pelouse du stade Albert Domec, antre de l'équipe de Carcassonne , pour le 1er match du 3ème bloc de la saison.
Les carcassonnais venaient de s'imposer à l’extérieur (Colomiers), alors que le FCG s’était incline sur la pelouse de Provence Rugby.


Dés le début de la rencontre on sentait que les carcassonnais étaient en confiance : dominateurs sur les 1ères minutes, ils mettaient les grenoblois à la faute à plusieurs reprises. Plusieurs fois pénalisés, tant en mêlée que sur des positions de hors-jeu, Grenoble peinait à entrer dans la partie. En confiance, donc, Carcassonne choisissait même de prendre des mêlées sous les poteaux plutôt que de tenter les 3 pts. La réputation (faible) de la mêlée grenobloise précédait le FCG. Pourtant, au prix d'une défense acharnée, le FCG repoussait les velléités adverses, non sans commettre des fautes. Goginava sera le grenoblois sanctionné par l'arbitre de la rencontre en laissant ses coéquipiers à 14 après un carton jaune pour fautes répétées. Pourtant, Carcassonne ne réussira pas à profiter de cette supériorité. C'est même Grenoble, pragmatique, qui ouvrira le score grâce à une pénalité réussie des 50 mètres par Corentin Glenat.
Joueurs, les grenoblois commençaient à reprendre du poil de la bête. Glenat accentuant la marque grâce à une nouvelle pénalité.

Juste avant le retour sur la pelouse de Goginava, Carcassonne écopait à son tour d'un carton jaune, après une faute d'antijeu "tuant" une action d'essai grenobloise : Qadiri ayant débordé sur son aile, sa remise intérieure trouvait Seguret à 20 mètres de la ligne. Ce dernier ne croyait pas en ses jambes et négociait mal un 3 contre 1, remettant une nouvelle fois à l'intérieur sur Escande, bousculé par un carcasonnais. Carton jaune sur l'action.
En supériorité numérique, cette fois, Grenoble n'était pas dangereux pour autant.
C'est même Carcassonne qui finissait mieux, du moins au score, la 1ère mi-temps, revenant au score avant la rentrée au vestiaire.
6 partout, on se disait que le FCG pouvait faire quelque chose de ce déplacement, si il parvenait à régler son problème d'indiscipline et retrouvait une mêlée ne serait-ce que correcte.

Au retour des vestiaires, les 2 piliers grenoblois Goginava et Montagne étaient remplacés par Zhvania et Taufa. La mêlée allait mieux. Bousquet donnait l'avantage au FCG face au poteaux : 9-6 (45ème).
Retombant dans ses travers, Grenoble empilait les fautes techniques ; en avant, hors-jeu, mauvais choix, tout y passait. En face, le jeu proposé n'était pas mieux.
C'est finalement, Carcassonne qui trouvait la faille le 1er, par l'ailier Tui qui reprenait un coup de pied rasant dans le dos de la défense grenobloise.
Marques, qui avait passé 2 pénalités un peu plus tôt, loupait la transformation. 17 à 9 (66ème minute).
Grenoble venait de prendre un coup sur la tête. Au vu du jeu proposé par les isérois, espérer quelque chose de cette rencontre, relevait de l'utopie.

Pourtant, les grenoblois essayaient de jouer. Quelques bons enchainements, tous gâchés par des fautes techniques, pouvaient donner l'illusion que le FCG pouvait au moins revenir dans le bonus défensif. Mais non, toujours non, comme depuis le début de la saison, Grenoble était incapable de quoi que ce soit :
touches pas droites, ballons lâchés ou arrachés par l'adversaire, chaque action étaient tuées dans l’œuf par les maladresses grenobloises et ce ne sont pas les entrées des remplaçants qui allaient y changer quelque chose.
Carcassonne ajoutant même 3 nouveaux points en fin de rencontre.

Une 7ème défaite en 11 rencontres pour un FCG, malade, qui s'enfonce au classement. Les grenoblois ne possèdent que 2 points d'avance sur le 1er relégable (Agen) et 4 sur Narbonne bon dernier. Narbonne qui sera le prochain visiteur au stade des Alpes, tiens, tiens.
 
Dernière édition par un modérateur:
J'ai mal à mon FCG

Le FCG est malade, c’est une évidence. Battu pour la 7ème fois en 11 rencontres de championnat, l’équipe grenobloise n’y arrive toujours pas. Cette fois, c’est sur la pelouse du stade Albert Domec de Carcassonne que le FCG a, une nouvelle fois, mis en avant ses maux de ce début de saison. 18 pénalités sifflés contre les grenoblois au cours de la rencontre, une mêlée toujours en souffrance, des fautes de mains à répétitions, une proportion à louper des actions qui pourraient être décisives, Grenoble ne fait plus peur à ses adversaires.

Fabien Gengenbacher avait pourtant dit cette semaine, qu’il avait retrouvé un groupe avec de l’envie et que la semaine d’entrainement avait été une des meilleures depuis le mois d’août. Force est de constater que le mal est toujours là et bien là. Un exemple symptomatique de la faiblesse grenobloise bien identifiée par ses adversaires : hier soir, en début de match, les carcassonnais ont préféré jouer des mêlées sous les poteaux grenoblois plutôt que de prendre le score au pied. Même si ceux-ci ont été un poil ambitieux (ils ne marqueront pas et Grenoble prendra même le score), on voit que les adversaires ne craignent pas le FCG.

De l’envie, il y en a. On ne peut pas le reprocher aux grenoblois. Mais que de maladresses, de fautes, de mauvais choix, à l’image de Seguret qui n’a pas su négocier un 3 contre 1 en milieu de 1ère mi-temps et qui n’a pas eu confiance en ses jambes pour permettre à son équipe de marquer le 1er essai de la rencontre. En face, ce n’était pourtant pas un foudre de guerre. Les carcassonnais ont tout simplement su profiter des fautes grenobloises pour rester dans le match et enfoncer le clou à 25 minutes du terme en marquant l’essai du break.

Le FCG a bien tenté de jouer : trop isolés, le soutien était souvent en retard. Trop de déchets techniques : après plusieurs temps de jeu, le ballon était systématiquement perdu et souvent à cause de fautes de mains. Au fil des matchs, on sent des joueurs qui ont la volonté de bien faire mais qui perdent le peu de confiance en eux en raison de ces fautes. Madeira qui échappe un ballon sur une touche, Zupan qui tarde à sortir le ballon sur mêlée (ce qui provoquera la colère de son capitaine), des touches pas droites ou mal négociées. Le FCG est malade dans sa tête et dans ses mains.

Au soir de cette 11ème journée, Grenoble possède 2 points d’avance sur Agen 1er relégable et 4 sur Narbonne bon dernier. La semaine prochaine, les spectateurs du stade des Alpes auront droit à un match entre équipes qui vont jouer le maintien, puisque les narbonnais seront les hôtes du FCG.

La colère gronde de plus en plus du côté des supporters. Que faire ? il a été dit que l’équipe sur la feuille de match, hier, était la meilleure possible, compte tenu des absences pour blessures. Le spectacle proposé n’est pas rassurant du tout. Les prochains adversaires du FCG joueront pour gagner et enfoncer ce FCG malade et qui ne trouve pas le remède à ses maux.

Les coachs parlent de travail : oui, ils travaillent, ce sont des professionnels et on ne peut pas croire qu’ils ne font pas le job à l’entrainement. Ces garçons ont tous de la valeur mais ils ne le montrent que très peu, par intermittence, sur la pelouse. Faut-il un électrochoc ? lequel ? Certains supporters attendent une prise de parole ou des décisions de la part du Président Cuynat.

Faut-il changer les hommes ? Agen a pris des décisions fortes après un début de saison catastrophique avec un peu d’embellie sur les derniers matchs. Vannes, de son côté, a continué de faire confiance à ses coachs et à son groupe. Ils reprennent du poil de la bête. Pas facile de prendre des décisions et surtout de prendre les bonnes décisions.

Nul doute que la semaine à venir sera compliquée du côté du stade Lesdiguières. Les joueurs devront se parler, les coachs devront prendre des décisions. Le match de vendredi prochain face à Narbonne s’annonce crucial et charnière pour l’avenir de la saison grenobloise.

Le club aura besoin tout de même de ses supporters. On gagne ensemble, on perd ensemble il parait. Notre club se doit de réagir, nous sommes Grenoble, nous sommes des alpins, vous savez, ceux qui sont durs, au mental d’acier et fiers de leur territoire et prêts à le défendre coute que coute.

La saison dernière, le FCG a vécu un début de saison similaire avant un net regain de forme. Espérons, souhaitons que ce regain de forme ressurgisse rapidement. Mais attention, les supporters s’impatientent.
 
Dernière édition:
Très bonne analyse, non l'année dernière pas similaire, avec autant de défaites à domicile et un piétre jeux, oui il faut les encourager, mais il faut un électrochoc, car le match de narbonne, peut être le plus important de la saison,car ensuite déplacement à montauban, reception de mont de marsans et déplacement chez nos amis de bourg, qui ont atomisé beziers, oui on attends une prise de parole du président, il y a t il un pilote dans l'avion ???
 
Pour moi, on a vu exactement le même match que face à Aix :

On est devant au score (faiblement mais devant) 6-0 hier et 10-0 à Aix puis plus rien hier on prend un 20-3, Aix c'était 19-3.

On va regarder derrière nous maintenant.

 
Parole ,parole ,parole !!!!! encore des paroles pour ne rien dire. et dire que ce monsieur a tiré à boulets rouges sur le précédent staff en déclarant qu'il était là pour redonner les lettres de noblesses au club, lettres qui n'auraient jamais du être perdues!!!
Je pense qu'il devrait assumer et prendre sur lui, les piètres résultats depuis le début de saison..

Attendons les prises de positions des uns et des autres, mais qu'ils n'attendent pas trop longtemps, car Narbonne va venir pour gagner. et en cas de faux pas nous serons bon dernier avec des matchs difficiles à venir..
espérons qu'enfin, il gagne peut importe la manière, ce serait un sursis appréciable pour nos nerfs!!
 
Ben clairement, on peut entendre ces paroles, par contre, il faut des actes. On ne peut se contenter de ça au FCG. On a un des plus gros budgets de la prod2 et se retrouver avec les résultats d'un promu : c'est inacceptable.

Aux joueurs de se réveiller, ceux sont qui sont sur le terrain. Je lis ici et là les doutes émis sur le staff mais concrètement les fautes de main, les en avants, les hors jeux... Etc : ce sont les joueurs qui sont fautifs.

Je me doute qu'ils ne font pas exprès, et certains sortent du lot malgré tout. Mais le résultat global tire toute l'équipe vers le bas.
 
J'ai mal à mon FCG

Le FCG est malade, c’est une évidence. Battu pour la 7ème fois en 11 rencontres de championnat, l’équipe grenobloise n’y arrive toujours pas. Cette fois, c’est sur la pelouse du stade Albert Domec de Carcassonne que le FCG a, une nouvelle fois, mis en avant ses maux de ce début de saison. 18 pénalités sifflés contre les grenoblois au cours de la rencontre, une mêlée toujours en souffrance, des fautes de mains à répétitions, une proportion à louper des actions qui pourraient être décisives, Grenoble ne fait plus peur à ses adversaires.

Fabien Gengenbacher avait pourtant dit cette semaine, qu’il avait retrouvé un groupe avec de l’envie et que la semaine d’entrainement avait été une des meilleures depuis le mois d’août. Force est de constater que le mal est toujours là et bien là. Un exemple symptomatique de la faiblesse grenobloise bien identifiée par ses adversaires : hier soir, en début de match, les carcassonnais ont préféré jouer des mêlées sous les poteaux grenoblois plutôt que de prendre le score au pied. Même si ceux-ci ont été un poil ambitieux (ils ne marqueront pas et Grenoble prendra même le score), on voit que les adversaires ne craignent pas le FCG.

De l’envie, il y en a. On ne peut pas le reprocher aux grenoblois. Mais que de maladresses, de fautes, de mauvais choix, à l’image de Seguret qui n’a pas su négocier un 3 contre 1 en milieu de 1ère mi-temps et qui n’a pas eu confiance en ses jambes pour permettre à son équipe de marquer le 1er essai de la rencontre. En face, ce n’était pourtant pas un foudre de guerre. Les carcassonnais ont tout simplement su profiter des fautes grenobloises pour rester dans le match et enfoncer le clou à 25 minutes du terme en marquant l’essai du break.

Le FCG a bien tenté de jouer : trop isolés, le soutien était souvent en retard. Trop de déchets techniques : après plusieurs temps de jeu, le ballon était systématiquement perdu et souvent à cause de fautes de mains. Au fil des matchs, on sent des joueurs qui ont la volonté de bien faire mais qui perdent le peu de confiance en eux en raison de ces fautes. Madeira qui échappe un ballon sur une touche, Zupan qui tarde à sortir le ballon sur mêlée (ce qui provoquera la colère de son capitaine), des touches pas droites ou mal négociées. Le FCG est malade dans sa tête et dans ses mains.

Au soir de cette 11ème journée, Grenoble possède 2 points d’avance sur Agen 1er relégable et 4 sur Narbonne bon dernier. La semaine prochaine, les spectateurs du stade des Alpes auront droit à un match entre équipes qui vont jouer le maintien, puisque les narbonnais seront les hôtes du FCG.

La colère gronde de plus en plus du côté des supporters. Que faire ? il a été dit que l’équipe sur la feuille de match, hier, était la meilleure possible, compte tenu des absences pour blessures. Le spectacle proposé n’est pas rassurant du tout. Les prochains adversaires du FCG joueront pour gagner et enfoncer ce FCG malade et qui ne trouve pas le remède à ses maux.

Les coachs parlent de travail : oui, ils travaillent, ce sont des professionnels et on ne peut pas croire qu’ils ne font pas le job à l’entrainement. Ces garçons ont tous de la valeur mais ils ne le montrent que très peu, par intermittence, sur la pelouse. Faut-il un électrochoc ? lequel ? Certains supporters attendent une prise de parole ou des décisions de la part du Président Cuynat.

Faut-il changer les hommes ? Agen a pris des décisions fortes après un début de saison catastrophique avec un peu d’embellie sur les derniers matchs. Vannes, de son côté, a continué de faire confiance à ses coachs et à son groupe. Ils reprennent du poil de la bête. Pas facile de prendre des décisions et surtout de prendre les bonnes décisions.

Nul doute que la semaine à venir sera compliquée du côté du stade Lesdiguières. Les joueurs devront se parler, les coachs devront prendre des décisions. Le match de vendredi prochain face à Narbonne s’annonce crucial et charnière pour l’avenir de la saison grenobloise.

Le club aura besoin tout de même de ses supporters. On gagne ensemble, on perd ensemble il parait. Notre club se doit de réagir, nous sommes Grenoble, nous sommes des alpins, vous savez, ceux qui sont durs, au mental d’acier et fiers de leur territoire et prêts à le défendre coute que coute.

La saison dernière, le FCG a vécu un début de saison similaire avant un net regain de forme. Espérons, souhaitons que ce regain de forme ressurgisse rapidement. Mais attention, les supporters s’impatientent.

Ben clairement, on peut entendre ces paroles, par contre, il faut des actes. On ne peut se contenter de ça au FCG. On a un des plus gros budgets de la prod2 et se retrouver avec les résultats d'un promu : c'est inacceptable.

Aux joueurs de se réveiller, ceux sont qui sont sur le terrain. Je lis ici et là les doutes émis sur le staff mais concrètement les fautes de main, les en avants, les hors jeux... Etc : ce sont les joueurs qui sont fautifs.

Je me doute qu'ils ne font pas exprès, et certains sortent du lot malgré tout. Mais le résultat global tire toute l'équipe vers le bas.
C'est une évidence, ce sont les joueurs qui sont sur le terrain.. mais malgré tout on voit bien que les mêmes joueurs peuvent avoir des attitudes bien différentes suivant les encadrant qu'ils ont !!!
Le SUA a vécu plus de trente défaites en autant de matchs . Ils ont pris des décisions radicales et l'on voit poindre un renouveau et je pense qu'il entrevoient des jours meilleurs et pourtant, ils ont les mêmes joueurs..
et comme par hasard, ils font un peu moins de faute et un peu moins d'erreurs techniques.
Comme quoi la faute n'incombe pas forcément aux seuls joueurs..
 
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