Bonjour la team du Raffut alpin, voici mon débrief du match à Agen avec bien du retard
Coupable d’imprécisions grossières
Pour ce classique entre deux clubs historiques du rugby de l’Hexagone, Agen-Grenoble, je me posais la question suivante : est-ce que les hommes du duo Pézery -Nadau allaient être capables d’enchaîner un deuxième succès à l’extérieur contre une équipe qui vient de mettre 7 essais lors de leur dernière rencontre à la maison ? Lors de la soirée de présentation des effectifs et après avoir échangé avec Nicolas Nadau, ce dernier était satisfait sur le plan comptable du début de saison, mais pas du tout sur l’entièreté du contenu, aussi bien en défense qu’en attaque. Il estime qu’il y a encore trop de déchets, la victoire contre Aurillac a été trop poussive, les joueurs manquaient encore d’agressivité, de repères. Tout n’est pas encore en place, la préparation tronquée explique en partie ces manques de précision. Bref l’équipe est encore en rodage. Cependant, la satisfaction, ce sont les fins de rencontre, l’entrée du banc, l’énergie déployée dans le money time. Ayant échangé également avec Julien Hériteau, qui connaît bien Agen (au SUA en junior de 2010 à 2014, sénior de 2014 à 2019), il me signifiait que pour sa première titularisation cette saison, ce match contre les Lot-et-Garonnais allaient être complié. Rien n’est simple pour un adversaire d’aller jouer à Armandie. D’autant plus que le staff grenoblois a dû procéder à de nombreux changements en raison des récents joueurs blessés et de la nécessité de faire tourner l’effectif.
Dans l’interview d’avant match, Éric Escande s’attend à “un match difficile face à une équipe qui vient de faire un gros score face au Stade Montois. A nous de faire les choses biens ! » Les intentions sont là, il n’y a plus qu’à les mettre en application.
Très bonne entame puis des approximations
Effectivement, les joueurs à la sortie du vestiaire vont mettre en application leur volonté de pratiquer un rugby fait d’engagement, de vitesse comme en témoigne trois bonnes séquences offensives (1e ,2e, 10e), mais malheureusement, elles se terminent par des fautes de main et un essai refusé pour passe en -avant. Ajouter à cela une touche perdue à l’entrée des 22 m (8e). Cela n’entame pas pour autant l’envie de poursuivre leurs efforts qui seront récompensés, cette fois-ci par un nouvel essai tout à fait valable marqué par Yan Lestrade (12e, 0-7). Côté des Agenais, les hommes de Mauricio Reggiardo se montrent trop brouillons (un bras cassé en mêlée et un ballon perdu sur leur propre introduction qui conduira à l’essai de Grenoble, une touche pas droite, deux pénalités (8e ,20e). Au micro de Canal+, Nicolas Nadau fait part de sa satisfaction de voir ses joueurs mener avec plein d’à-propos leur rugby. On a l’impression que seul Grenoble est en maîtrise et qu’Agen est incapable de jouer correctement le moindre ballon en leur possession, à tel point qu’on peut se poser la question si cela ne devient pas trop facile pour les coéquipiers du capitaine Julien Farnoux. Je ne suis sûr qu’après ces belles paroles, Nicolas Nadau pouvait envisager que son équipe allait montrer un tout autre visage en commettant des fautes grossières qui seront autant de cadeaux qu’Agen ne pouvait rêver d’obtenir.
Tout part d’une pénalité, obtenue après un super contest de Richard Hardwick (à 45 -50 m légèrement désaxée), mais dont la tentative échoue. Dans la séquence qui suit, Richard Hardwixk commet une faute stupide au sol (23e). C’est la première pénalité contre Grenoble, qui sera lourde de conséquence, puisque les Agenais marquent leur premier essai à la suite de la pénaltouche. Et pourtant celle-ci était mal engagée pour les Lot-et-Garonnais, mais le manque d’agressivité et de réactivité des Grenoblois en défense leur permet d’aller à dame (25e, 7-7). Cet essai marque le début d’une série d’erreurs et d’approximations de la part des Grenoblois qui ont agacé sans aucun doute le staff et les supporters. A peine trois minutes après ce premier cadeau, une offensive grenobloise est amorcée à la sortie d’une mêlée. Une passe bien trop à plat et à l’aveugle de Yan Lestrade est interceptée par l’ailier Iban Etcheverry qui file entre les perches sans opposition (30e, 14-7). Agen vient de marquer 14 points en cinq minutes ! Grenoble se reprend quelque peu en réduisant le score (33e, 14-10), mais l’espoir de continuer sur cette lancée ne va pas durer. A deux minutes de la fin la première période, les Grenoblois lancent une nouvelle offensive à la sortie d’une mêlée, Max Clément, transmet son ballon en commettant une passe en-avant lourde de conséquence. Sur la mêlée qui suit, les Agenais ne commettent pas la même erreur. Leur lancement de jeu fait de vitesse franchit avec une facilité déconcertante le premier rideau défensif grenoblois qui manque là encore de réactivité. Leur ailier, Lucas Martins, termine l’action en plantant le ballon derrière la ligne ! (40e, 19-10). C’est la mi-temps. Durant ces quarante minutes, Grenoble a montré deux visages diamétralement opposés, d’une part les 20 premières minutes qui ont vu un Grenoble séduisant, appliqué, capable de marquer à tout moment sur chaque possession face à des Agenais malmenés et maladroits et d’autre part les 20 minutes suivantes où les Grenoblois sont devenus approximatifs encaissant trois essais bien trop facilement.
Les statistiques de la première mi-temps :
Touches (Grenoble) :7, un ballon perdu.
Touche (Agen) : 3, un ballon perdu.
Mêlée (Grenoble) :4, une pénalité contre Agen.
Mêlée (Agen) :7, un bras cassé contre Agen.
Pénalité : 1 contre Grenoble et 4 contre Agen.
Grenoble sort de son match
Je ne sais pas ce qui a pu être dit dans l’intimité des vestiaires pour qu’au retour sur la pelouse d’Armandie, les joueurs sortent complétement de leur match. Si à 19-10, la partie n’était pas encore perdue, elle le sera très vite en moins de cinq minutes, de la 41e et 46e. Sur le coup d’envoi, les Isérois commettent un en-avant. Mêlée fermée, lancement de jeu, franchissement du premier rideau grenoblois, des plaquages loupés et hop, essai agenais ! Un essai qui ressemble à celui de la fin de la première période. (42e, 24-10). Renvoi du ballon, Hugo Trouilloud dévie le ballon pour personne à la retombée. Ballon récupéré par les Agenais qui le remontent sur 80 m et marquent leur cinquième essai ! (46e, 31-10) Le match est plié. Le match tourne au cauchemar pour les hommes de Nicolas Nadau et de Patrick Pézery dont les regards en disent long sur leur niveau d’agacement. Le staff procède alors à des changements progressifs mais l’énergie escomptée tarde à venir. De nouvelles fautes en touche (57e) en mêlée (58e) ternissent encore un peu plus l’indigence du jeu grenoblois. Ceci dit, malgré le déchet technique, les Grenoblois ne baissent pas les bras et finissent pas marquer un essai passé l’heure de jeu par la recrue, Tristan Labouteley, que j’ai trouvé très performant dans les prises du ballon en touche. (61e, 31-15). Les Agenais écopent d’un carton jaune, leur deuxième après celui récolté plus tôt par l’ancien grenoblois, William Demotte. Est-ce que cette fois-ci les Isérois profiteront de ce nouvel avantage numérique ? Pas vraiment, puisque ce sont les Agenais qui reprennent le cours du match, produisent une nouvelle grosse séquence offensive et marquent leur sixième essai par leur Tongien, Tomasi Fineanganofo qui fait un début de saison de haute volée. Sur cette séquence, Yan Lestrade prend un carton jaune pour faute cynique ! (66e, 38-15). Le rugby grenoblois se délite de plus en plus (contest agenais, 69e, deux touches mal négociées, 71e et 74e, une pénalité en mêlée fermée (la deuxième) 75e). Cependant, Grenoble finira par sauver un peu l’honneur en marquant un troisième essai (77e, 38-20) qui comptera pour du beurre. Victoire nette des hommes de Mauricio Reggiardo qui ont infligé une belle fessée à des Grenoblois bien trop tendres en défense et qui ont manqué d’exigence dans leurs initiatives.
Les statistiques de la deuxième mi-temps :
Touches (Grenoble) :9, quatre ballons perdus.
Touche (Agen) : 4, deux ballons perdus.
Mêlée (Grenoble) : 3, deux bras cassés contre Grenoble.
Mêlée (Agen) :4. deux pénalités contre Grenoble.
Pénalité : 5 contre Grenoble et un carton jaune et 11 contre Agen et deux cartons jaunes.
Bon au-delà de cette lourde défaite indiscutable, tout n’est pas négatif si on regarde de près les statistiques, une seule pénalité en première période contre Grenoble et onze contre Agen avec deux cartons jaunes en seconde période, mais les Grenoblois n’en ont pas profité ! La touche a été catastrophique en seconde période et la mêlée deux fois pénalisées sur introduction Agen. Du travail en perspective…
La réaction de Nicolas Nadau après le match, visiblement très agacé (on le serait à moins) : « On est tombé dans une forme de facilité, […] c’est à nous d’être plus précis dans le cadre de jeu, […] on prend une petite fessée, une petite piqûre de rappel cela ne fait pas de mal, cela va remettre les mecs au boulot…Après on n’a pas caché qu’on est en retard physiquement mais on ne va pas se cacher derrière cela, le nombre de ballons perdus au contact et les ballons perdus sans contact et ça, cela me dérange un peu plus » .
Prochain match contre Nevers, jeudi 18 septembre à 21heures, qui a planté huit essais contre Agen lors de la première journée ! Á bon entendeur ….
Coupable d’imprécisions grossières
Pour ce classique entre deux clubs historiques du rugby de l’Hexagone, Agen-Grenoble, je me posais la question suivante : est-ce que les hommes du duo Pézery -Nadau allaient être capables d’enchaîner un deuxième succès à l’extérieur contre une équipe qui vient de mettre 7 essais lors de leur dernière rencontre à la maison ? Lors de la soirée de présentation des effectifs et après avoir échangé avec Nicolas Nadau, ce dernier était satisfait sur le plan comptable du début de saison, mais pas du tout sur l’entièreté du contenu, aussi bien en défense qu’en attaque. Il estime qu’il y a encore trop de déchets, la victoire contre Aurillac a été trop poussive, les joueurs manquaient encore d’agressivité, de repères. Tout n’est pas encore en place, la préparation tronquée explique en partie ces manques de précision. Bref l’équipe est encore en rodage. Cependant, la satisfaction, ce sont les fins de rencontre, l’entrée du banc, l’énergie déployée dans le money time. Ayant échangé également avec Julien Hériteau, qui connaît bien Agen (au SUA en junior de 2010 à 2014, sénior de 2014 à 2019), il me signifiait que pour sa première titularisation cette saison, ce match contre les Lot-et-Garonnais allaient être complié. Rien n’est simple pour un adversaire d’aller jouer à Armandie. D’autant plus que le staff grenoblois a dû procéder à de nombreux changements en raison des récents joueurs blessés et de la nécessité de faire tourner l’effectif.
Dans l’interview d’avant match, Éric Escande s’attend à “un match difficile face à une équipe qui vient de faire un gros score face au Stade Montois. A nous de faire les choses biens ! » Les intentions sont là, il n’y a plus qu’à les mettre en application.
Très bonne entame puis des approximations
Effectivement, les joueurs à la sortie du vestiaire vont mettre en application leur volonté de pratiquer un rugby fait d’engagement, de vitesse comme en témoigne trois bonnes séquences offensives (1e ,2e, 10e), mais malheureusement, elles se terminent par des fautes de main et un essai refusé pour passe en -avant. Ajouter à cela une touche perdue à l’entrée des 22 m (8e). Cela n’entame pas pour autant l’envie de poursuivre leurs efforts qui seront récompensés, cette fois-ci par un nouvel essai tout à fait valable marqué par Yan Lestrade (12e, 0-7). Côté des Agenais, les hommes de Mauricio Reggiardo se montrent trop brouillons (un bras cassé en mêlée et un ballon perdu sur leur propre introduction qui conduira à l’essai de Grenoble, une touche pas droite, deux pénalités (8e ,20e). Au micro de Canal+, Nicolas Nadau fait part de sa satisfaction de voir ses joueurs mener avec plein d’à-propos leur rugby. On a l’impression que seul Grenoble est en maîtrise et qu’Agen est incapable de jouer correctement le moindre ballon en leur possession, à tel point qu’on peut se poser la question si cela ne devient pas trop facile pour les coéquipiers du capitaine Julien Farnoux. Je ne suis sûr qu’après ces belles paroles, Nicolas Nadau pouvait envisager que son équipe allait montrer un tout autre visage en commettant des fautes grossières qui seront autant de cadeaux qu’Agen ne pouvait rêver d’obtenir.
Tout part d’une pénalité, obtenue après un super contest de Richard Hardwick (à 45 -50 m légèrement désaxée), mais dont la tentative échoue. Dans la séquence qui suit, Richard Hardwixk commet une faute stupide au sol (23e). C’est la première pénalité contre Grenoble, qui sera lourde de conséquence, puisque les Agenais marquent leur premier essai à la suite de la pénaltouche. Et pourtant celle-ci était mal engagée pour les Lot-et-Garonnais, mais le manque d’agressivité et de réactivité des Grenoblois en défense leur permet d’aller à dame (25e, 7-7). Cet essai marque le début d’une série d’erreurs et d’approximations de la part des Grenoblois qui ont agacé sans aucun doute le staff et les supporters. A peine trois minutes après ce premier cadeau, une offensive grenobloise est amorcée à la sortie d’une mêlée. Une passe bien trop à plat et à l’aveugle de Yan Lestrade est interceptée par l’ailier Iban Etcheverry qui file entre les perches sans opposition (30e, 14-7). Agen vient de marquer 14 points en cinq minutes ! Grenoble se reprend quelque peu en réduisant le score (33e, 14-10), mais l’espoir de continuer sur cette lancée ne va pas durer. A deux minutes de la fin la première période, les Grenoblois lancent une nouvelle offensive à la sortie d’une mêlée, Max Clément, transmet son ballon en commettant une passe en-avant lourde de conséquence. Sur la mêlée qui suit, les Agenais ne commettent pas la même erreur. Leur lancement de jeu fait de vitesse franchit avec une facilité déconcertante le premier rideau défensif grenoblois qui manque là encore de réactivité. Leur ailier, Lucas Martins, termine l’action en plantant le ballon derrière la ligne ! (40e, 19-10). C’est la mi-temps. Durant ces quarante minutes, Grenoble a montré deux visages diamétralement opposés, d’une part les 20 premières minutes qui ont vu un Grenoble séduisant, appliqué, capable de marquer à tout moment sur chaque possession face à des Agenais malmenés et maladroits et d’autre part les 20 minutes suivantes où les Grenoblois sont devenus approximatifs encaissant trois essais bien trop facilement.
Les statistiques de la première mi-temps :
Touches (Grenoble) :7, un ballon perdu.
Touche (Agen) : 3, un ballon perdu.
Mêlée (Grenoble) :4, une pénalité contre Agen.
Mêlée (Agen) :7, un bras cassé contre Agen.
Pénalité : 1 contre Grenoble et 4 contre Agen.
Grenoble sort de son match
Je ne sais pas ce qui a pu être dit dans l’intimité des vestiaires pour qu’au retour sur la pelouse d’Armandie, les joueurs sortent complétement de leur match. Si à 19-10, la partie n’était pas encore perdue, elle le sera très vite en moins de cinq minutes, de la 41e et 46e. Sur le coup d’envoi, les Isérois commettent un en-avant. Mêlée fermée, lancement de jeu, franchissement du premier rideau grenoblois, des plaquages loupés et hop, essai agenais ! Un essai qui ressemble à celui de la fin de la première période. (42e, 24-10). Renvoi du ballon, Hugo Trouilloud dévie le ballon pour personne à la retombée. Ballon récupéré par les Agenais qui le remontent sur 80 m et marquent leur cinquième essai ! (46e, 31-10) Le match est plié. Le match tourne au cauchemar pour les hommes de Nicolas Nadau et de Patrick Pézery dont les regards en disent long sur leur niveau d’agacement. Le staff procède alors à des changements progressifs mais l’énergie escomptée tarde à venir. De nouvelles fautes en touche (57e) en mêlée (58e) ternissent encore un peu plus l’indigence du jeu grenoblois. Ceci dit, malgré le déchet technique, les Grenoblois ne baissent pas les bras et finissent pas marquer un essai passé l’heure de jeu par la recrue, Tristan Labouteley, que j’ai trouvé très performant dans les prises du ballon en touche. (61e, 31-15). Les Agenais écopent d’un carton jaune, leur deuxième après celui récolté plus tôt par l’ancien grenoblois, William Demotte. Est-ce que cette fois-ci les Isérois profiteront de ce nouvel avantage numérique ? Pas vraiment, puisque ce sont les Agenais qui reprennent le cours du match, produisent une nouvelle grosse séquence offensive et marquent leur sixième essai par leur Tongien, Tomasi Fineanganofo qui fait un début de saison de haute volée. Sur cette séquence, Yan Lestrade prend un carton jaune pour faute cynique ! (66e, 38-15). Le rugby grenoblois se délite de plus en plus (contest agenais, 69e, deux touches mal négociées, 71e et 74e, une pénalité en mêlée fermée (la deuxième) 75e). Cependant, Grenoble finira par sauver un peu l’honneur en marquant un troisième essai (77e, 38-20) qui comptera pour du beurre. Victoire nette des hommes de Mauricio Reggiardo qui ont infligé une belle fessée à des Grenoblois bien trop tendres en défense et qui ont manqué d’exigence dans leurs initiatives.
Les statistiques de la deuxième mi-temps :
Touches (Grenoble) :9, quatre ballons perdus.
Touche (Agen) : 4, deux ballons perdus.
Mêlée (Grenoble) : 3, deux bras cassés contre Grenoble.
Mêlée (Agen) :4. deux pénalités contre Grenoble.
Pénalité : 5 contre Grenoble et un carton jaune et 11 contre Agen et deux cartons jaunes.
Bon au-delà de cette lourde défaite indiscutable, tout n’est pas négatif si on regarde de près les statistiques, une seule pénalité en première période contre Grenoble et onze contre Agen avec deux cartons jaunes en seconde période, mais les Grenoblois n’en ont pas profité ! La touche a été catastrophique en seconde période et la mêlée deux fois pénalisées sur introduction Agen. Du travail en perspective…
La réaction de Nicolas Nadau après le match, visiblement très agacé (on le serait à moins) : « On est tombé dans une forme de facilité, […] c’est à nous d’être plus précis dans le cadre de jeu, […] on prend une petite fessée, une petite piqûre de rappel cela ne fait pas de mal, cela va remettre les mecs au boulot…Après on n’a pas caché qu’on est en retard physiquement mais on ne va pas se cacher derrière cela, le nombre de ballons perdus au contact et les ballons perdus sans contact et ça, cela me dérange un peu plus » .
Prochain match contre Nevers, jeudi 18 septembre à 21heures, qui a planté huit essais contre Agen lors de la première journée ! Á bon entendeur ….