Bonjour la team du Raffut, voici le débrief du match à Dax
Sérieux dans le combat et pragmatique dans la conduite du match
Dès l’entame, les deux équipes entrent très vite dans le vif du sujet. Grenoble prend le match par le bon bout en monopolisant le ballon avec des temps de jeu longs, des séquences qui mettent très vite les joueurs dans le rouge. Et c’est Grenoble qui logiquement ouvre le score par la botte de Romain Trouilloud qui supplée Sam Davies dans les tentatives de tirs. (11e, 0-3). Sur le renvoi qui suit, les trois-quarts isérois se créent une superbe occasion par les frères Trouilloud, qui échoue d’un rien. Comme le dit Nicolas Nadau au micro de Canal + : « Notre stratégie en début de match est de tenir le ballon avec des séquences de plus d’une minute », donc faire courir leurs gros porteurs, ne pas laisser l’initiative aux Dacquois. Mais proposer beaucoup de jeu, c’est aussi s’exposer à des pertes de ballon. C’est ce qu’il se passe au quart d’heure de jeu à la suite d’une touche. La mêlée qui suit l’en-avant isérois débouche sur une première pénalité, puis une deuxième. L’arbitre prévient le capitaine Antonin Berruyer qu’à la prochaine, ce sera le carton. La troisième tient bien la route, mais c’est la défense iséroise qui est aux abonnés absents. Sur le petit côté, il n’y a qu’un seul joueur pour défendre contre deux Dacquois qui en profitent pour envoyer leur ailier Galetier à dame. Quelle erreur défensive des Grenoblois qui ont délaissé le petit côté. (20e ,5-3). Puis indisciplinés dans la foulée, c’est encore trois points donnés aux Dacquois(23e,8-3). Sans s’affoler, les coéquipiers de Romain Fusier qui officiait pour son centième match sous les couleurs Rouge et Bleu, reprennent les rênes du match avec un pragmatisme déconcertant. Sérieux en défense, les Grenoblois gagnent les collisions, jouent les ballons en faisant de nombreuses passes au contact ou des passes à l’aveugle, le soutien est permanent. Du vrai jeu à la « Toulousaine. » Les Dacquois commettent faute sur faute (25e, 8-6 et 30e 8-9), Grenoble repasse devant au tableau d’affichage.
Grisés par la tournure du match, sérieux dans le combat voire trop, certains Grenoblois effectuent des plaquages à la limite de la règle à l’image de Bastien Soury et Pio Muarua qui à deux reprises sèchent deux Landais. Un arbitrage vidéo est demandé à chaque fois. La sentence tombe, carton jaune pour le Fidjien qui met une grosse débauche d’énergie dans les contacts. Cette infériorité ne perturbe pas pour autant les hommes de Nicolas Nadau qui donne de la voix sur le bord de touche pour encourager ses joueurs. Max Clément, titulaire à la place de Sam Davies, prend ses responsabilités et remplit parfaitement sa mission. Sur un jeu au pied de dépossession dacquois, il renvoie le ballon et nous gratifie d’un superbe 50-22. La touche grenobloise très efficace débouche sur un maul dynamique qui progresse rapidement. Nouvelle faute dacquoise. Impériale au pied, Romain Trouilloud expédie le ballon entre les poteaux (37e, 8-12). Malgré l’infériorité numérique, c’est Grenoble qui contrôle les débats, les Dacquois, volontaires à souhait, envoient du jeu, mais laissent tomber les ballons après quelques temps de jeu ou le perdent face à une défense iséroise bien en place. Les trente acteurs regagnent les vestiaires, les Grenoblois expriment un sourire tout en retenu alors que les Dacquois ont le regard de la frustration. 8-12 à la pause. Rien n’est fait.
Les statistiques de la première mi-temps :
Touches (Grenoble) :7, un ballon perdu à la retombée (en-avant).
Touche (Dax) :4, zéro ballon perdu.
Mêlée (Grenoble) : 3, un bras cassé contre Dax.
Mêlée (Dax) : 3, deux pénalités contre Grenoble.
Pénalité : 6 contre Grenoble et un carton jaune, 6 contre Dax.
Réalisme et stratégie payante
Si lors du premier acte, les Dauphinois ont su profiter de la moindre occasion pour marquer des points au pied, ils n’ont pas réussi à marquer d’essais contrairement à leurs habitudes, ils vont vite corriger le tir. Appliquant la même consigne que lors du premier acte, les Isérois tiennent toujours le ballon, proposent du jeu sur une longue séquence de près de deux minutes dès le retour des vestiaires. Nouvelle faute landaise. Grenoble choisit la pénaltouche. Nouvelle grosse séquence de possession et grosse occasion d’essai. Wilfried échoue d’un rien en déposant le ballon à quelques centimètres de la ligne (45e). Ce n’est que partie remise. Deux minutes plus tard, le ballon sera bien aplati cette fois-ci et c’est Bastien Soury qui conclue la belle séquence grenobloise ! (48e, 8-19). Les Dacquois écopent en plus d’un carton jaune. Assommés mais pas résignés pour autant, les hommes de Jeff Dubois rebondissent immédiatement en produisant de nombreux temps de jeu tout en progressant dans le camp grenoblois. Des passes au contact, du jeu dans l’axe, tout y passe, puis sur un ballon envoyé sur les extérieurs, ils trouvent la faille et inscrivent un deuxième essai. L’arbitre a un doute sur la validité de l’essai, les Grenoblois ayant signalé auparavant un en-avant. Après vidéo, l’en-avant en question est révélé sur l’écran géant du stade. Essai refusé. Ouf ! Les Landais poursuivent sur leur lancée en monopolisant le ballon, mais rien ne passe. La défense grenobloise est intraitable, un vrai rideau de fer berlinois. C’est le mur de l’Atlantique grenoblois sur les côtes landaises. Les attaquants dacquois se montrent brouillon, ils tombent les ballons sur chaque offensive (trois de suite en deux minutes). La mêlée grenobloise sur chaque introduction ne bouge pas d’un centimètre. Le staff grenoblois procède à des changements progressivement qui s’avèrent judicieux. La partie s’équilibre. Dax possède le ballon, Grenoble défend âprement son camp. Dax finit par réduire le score (64e 11-19), mais toujours pas de franchissement du mur de l’Atlantique grenoblois malgré quelques fautes de discipline.
Ils tentent le tout pour le tout en jouant une pénalité à la main pour surprendre la défense iséroise qui continue d’asséner de très bons plaquages dans les règles. Sur l’un deux, les Landais commettent un en-avant. Contre-attaque alpine qui profite de cette opportunité. Le ballon arrive dans les mains de l’ailier fidjien supersonique, Kaminieli Rasaku, qui laisse sur place la défense dacquoise qui est à bout de souffle. L’ailier fidjien traverse le terrain sur cinquante mètres, joue parfaitement le deux contre un, donne à Sam Davies qui termine dans l’en-but. Nicolas Nadau ne peut retenir sa joie en levant les bras au ciel ! Le match est plié. (72e, 11-26). La victoire ne peut plus échapper à ses joueurs. Quatre minutes plus tard, les Dacquois réduisent bien le score en marquant leur deuxième essai, mais ce sont les Grenoblois, qui sur une dernière offensive, auront le dernier mot en scorant trois points de plus par l’intermédiaire du demi d’ouverture, Sam Davies ! (79e, 18-29). Sixième victoire des Grenoblois sur les onze déplacements ! Magnifique succès des hommes du duo Pézery-Nadau qui ont gagné en leader, qui ont été plus pragmatiques, plus forts mentalement avec une défense remarquable, qui ont su être cliniques sur leurs occasions. Bravo Messieurs les Grenoblois.
Les statistiques de la deuxième mi-temps :
Touches (Grenoble) :3, 100% de réussite dont une vite jouée.
Touche (Dax) :5, un ballon perdu.
Mêlée (Grenoble) : 7, aucune pénalité.
Mêlée (Dax) : 1, aucune pénalité.
Pénalité : 7 contre Grenoble, 4 contre Dax et un carton jaune.
Ce que je retiens de ce match :
Prochain match contre Béziers (quatrième) vendredi à 21 heures au Stade des Alpes, j’espère que le public répondra présent pour venir soutenir les Rouge et Bleu qui le méritent amplement !
Le mur de l’Atlantique grenoblois
Après le carton contre Aurillac du week-dernier à domicile, la troupe du duo Nadau-Pézery devait se préparer à traverser la France pour aller affronter Dax, équipe redoutable, rugueuse, qui ne lâche rien et, qui a su ramener les deux points du match nul à Oyonnax. Lors de la saison dernière, avec son statut de promu de Nationale, Dax avait réussi à battre Grenoble à deux reprises lors de la phase régulière. La défaite au Stade des Alpes en janvier 2024 (24-27) avait jeté du trouble au sein de l’effectif et certains joueurs en avaient fait les frais. Menés à la mi-temps (5-10) lors du match aller au début de cette saison, les Grenoblois ont eu toutes les peines du monde à s’imposer (19-13) face à cette équipe dacquoise qui sait parfaitement jouer les trouble-fêtes. Il faut dire qu’à l’époque, le jeu de l’équipe grenobloise n’a plus rien à voir avec ce qu’elle propose maintenant. A l’issu de la rencontre, Nicolas Zanardi, journaliste au Midi Olympique, titrait « Grenoble est encore loin du compte ». Quelques mois plus tard, les choses ont bien changé. Les Grenoblois sont les leaders avec dix points d’avance sur leur dauphin et le rugby pratiqué fait rêver pas mal d’équipes, à tel point que certains commentateurs considèrent Grenoble, comme le « Toulouse » du Pro D2, mais cela ne donne pas un titre pour autant. Maintenant, aller défier Dax sur sa pelouse de Maurice-Boyau où Provence, Brive se sont cassés les dents, est loin d’être une partie de plaisir. Et si l’équipe ne rivalise pas dans le combat devant, inutile d’espérer ramener des points d’un tel déplacement. Pour autant, un tel défi n’est pas pour déplaire aux Grenoblois, bien au contraire comme l’estime Romain Fusier lors de l’interview d’avant match : « On sait le combat qu’il va y avoir, on connaît leurs points forts, ils ont des gros porteurs de ballons […], cela va nous faire du bien d’avoir un gros duel, ça va cogner très fort … et c’est bien d’en passer par là par des matchs plus rugueux et c’est une superbe occasion de faire un gros match jeudi soir ». On sent beaucoup de confiance chez les Grenoblois. A eux de nous en apporter la preuve sur le terrain.Sérieux dans le combat et pragmatique dans la conduite du match
Dès l’entame, les deux équipes entrent très vite dans le vif du sujet. Grenoble prend le match par le bon bout en monopolisant le ballon avec des temps de jeu longs, des séquences qui mettent très vite les joueurs dans le rouge. Et c’est Grenoble qui logiquement ouvre le score par la botte de Romain Trouilloud qui supplée Sam Davies dans les tentatives de tirs. (11e, 0-3). Sur le renvoi qui suit, les trois-quarts isérois se créent une superbe occasion par les frères Trouilloud, qui échoue d’un rien. Comme le dit Nicolas Nadau au micro de Canal + : « Notre stratégie en début de match est de tenir le ballon avec des séquences de plus d’une minute », donc faire courir leurs gros porteurs, ne pas laisser l’initiative aux Dacquois. Mais proposer beaucoup de jeu, c’est aussi s’exposer à des pertes de ballon. C’est ce qu’il se passe au quart d’heure de jeu à la suite d’une touche. La mêlée qui suit l’en-avant isérois débouche sur une première pénalité, puis une deuxième. L’arbitre prévient le capitaine Antonin Berruyer qu’à la prochaine, ce sera le carton. La troisième tient bien la route, mais c’est la défense iséroise qui est aux abonnés absents. Sur le petit côté, il n’y a qu’un seul joueur pour défendre contre deux Dacquois qui en profitent pour envoyer leur ailier Galetier à dame. Quelle erreur défensive des Grenoblois qui ont délaissé le petit côté. (20e ,5-3). Puis indisciplinés dans la foulée, c’est encore trois points donnés aux Dacquois(23e,8-3). Sans s’affoler, les coéquipiers de Romain Fusier qui officiait pour son centième match sous les couleurs Rouge et Bleu, reprennent les rênes du match avec un pragmatisme déconcertant. Sérieux en défense, les Grenoblois gagnent les collisions, jouent les ballons en faisant de nombreuses passes au contact ou des passes à l’aveugle, le soutien est permanent. Du vrai jeu à la « Toulousaine. » Les Dacquois commettent faute sur faute (25e, 8-6 et 30e 8-9), Grenoble repasse devant au tableau d’affichage.
Grisés par la tournure du match, sérieux dans le combat voire trop, certains Grenoblois effectuent des plaquages à la limite de la règle à l’image de Bastien Soury et Pio Muarua qui à deux reprises sèchent deux Landais. Un arbitrage vidéo est demandé à chaque fois. La sentence tombe, carton jaune pour le Fidjien qui met une grosse débauche d’énergie dans les contacts. Cette infériorité ne perturbe pas pour autant les hommes de Nicolas Nadau qui donne de la voix sur le bord de touche pour encourager ses joueurs. Max Clément, titulaire à la place de Sam Davies, prend ses responsabilités et remplit parfaitement sa mission. Sur un jeu au pied de dépossession dacquois, il renvoie le ballon et nous gratifie d’un superbe 50-22. La touche grenobloise très efficace débouche sur un maul dynamique qui progresse rapidement. Nouvelle faute dacquoise. Impériale au pied, Romain Trouilloud expédie le ballon entre les poteaux (37e, 8-12). Malgré l’infériorité numérique, c’est Grenoble qui contrôle les débats, les Dacquois, volontaires à souhait, envoient du jeu, mais laissent tomber les ballons après quelques temps de jeu ou le perdent face à une défense iséroise bien en place. Les trente acteurs regagnent les vestiaires, les Grenoblois expriment un sourire tout en retenu alors que les Dacquois ont le regard de la frustration. 8-12 à la pause. Rien n’est fait.
Les statistiques de la première mi-temps :
Touches (Grenoble) :7, un ballon perdu à la retombée (en-avant).
Touche (Dax) :4, zéro ballon perdu.
Mêlée (Grenoble) : 3, un bras cassé contre Dax.
Mêlée (Dax) : 3, deux pénalités contre Grenoble.
Pénalité : 6 contre Grenoble et un carton jaune, 6 contre Dax.
Réalisme et stratégie payante
Si lors du premier acte, les Dauphinois ont su profiter de la moindre occasion pour marquer des points au pied, ils n’ont pas réussi à marquer d’essais contrairement à leurs habitudes, ils vont vite corriger le tir. Appliquant la même consigne que lors du premier acte, les Isérois tiennent toujours le ballon, proposent du jeu sur une longue séquence de près de deux minutes dès le retour des vestiaires. Nouvelle faute landaise. Grenoble choisit la pénaltouche. Nouvelle grosse séquence de possession et grosse occasion d’essai. Wilfried échoue d’un rien en déposant le ballon à quelques centimètres de la ligne (45e). Ce n’est que partie remise. Deux minutes plus tard, le ballon sera bien aplati cette fois-ci et c’est Bastien Soury qui conclue la belle séquence grenobloise ! (48e, 8-19). Les Dacquois écopent en plus d’un carton jaune. Assommés mais pas résignés pour autant, les hommes de Jeff Dubois rebondissent immédiatement en produisant de nombreux temps de jeu tout en progressant dans le camp grenoblois. Des passes au contact, du jeu dans l’axe, tout y passe, puis sur un ballon envoyé sur les extérieurs, ils trouvent la faille et inscrivent un deuxième essai. L’arbitre a un doute sur la validité de l’essai, les Grenoblois ayant signalé auparavant un en-avant. Après vidéo, l’en-avant en question est révélé sur l’écran géant du stade. Essai refusé. Ouf ! Les Landais poursuivent sur leur lancée en monopolisant le ballon, mais rien ne passe. La défense grenobloise est intraitable, un vrai rideau de fer berlinois. C’est le mur de l’Atlantique grenoblois sur les côtes landaises. Les attaquants dacquois se montrent brouillon, ils tombent les ballons sur chaque offensive (trois de suite en deux minutes). La mêlée grenobloise sur chaque introduction ne bouge pas d’un centimètre. Le staff grenoblois procède à des changements progressivement qui s’avèrent judicieux. La partie s’équilibre. Dax possède le ballon, Grenoble défend âprement son camp. Dax finit par réduire le score (64e 11-19), mais toujours pas de franchissement du mur de l’Atlantique grenoblois malgré quelques fautes de discipline.
Ils tentent le tout pour le tout en jouant une pénalité à la main pour surprendre la défense iséroise qui continue d’asséner de très bons plaquages dans les règles. Sur l’un deux, les Landais commettent un en-avant. Contre-attaque alpine qui profite de cette opportunité. Le ballon arrive dans les mains de l’ailier fidjien supersonique, Kaminieli Rasaku, qui laisse sur place la défense dacquoise qui est à bout de souffle. L’ailier fidjien traverse le terrain sur cinquante mètres, joue parfaitement le deux contre un, donne à Sam Davies qui termine dans l’en-but. Nicolas Nadau ne peut retenir sa joie en levant les bras au ciel ! Le match est plié. (72e, 11-26). La victoire ne peut plus échapper à ses joueurs. Quatre minutes plus tard, les Dacquois réduisent bien le score en marquant leur deuxième essai, mais ce sont les Grenoblois, qui sur une dernière offensive, auront le dernier mot en scorant trois points de plus par l’intermédiaire du demi d’ouverture, Sam Davies ! (79e, 18-29). Sixième victoire des Grenoblois sur les onze déplacements ! Magnifique succès des hommes du duo Pézery-Nadau qui ont gagné en leader, qui ont été plus pragmatiques, plus forts mentalement avec une défense remarquable, qui ont su être cliniques sur leurs occasions. Bravo Messieurs les Grenoblois.
Les statistiques de la deuxième mi-temps :
Touches (Grenoble) :3, 100% de réussite dont une vite jouée.
Touche (Dax) :5, un ballon perdu.
Mêlée (Grenoble) : 7, aucune pénalité.
Mêlée (Dax) : 1, aucune pénalité.
Pénalité : 7 contre Grenoble, 4 contre Dax et un carton jaune.
Ce que je retiens de ce match :
- La débauche d’énergie en défense. Une telle défense témoigne du très état d’esprit au sein du groupe sans doute rassurer par la prolongation du staff. Il règne une confiance mutuelle. Cela fait plaisir à voir.
- On pourrait citer la qualité de tous les joueurs et tous les féliciter, mais un joueur a retenu mon attention et ce n’est pas la première fois, il s’agit de Hanru Sirgel ! Quel joueur, quelle technicité. Bravo à la cellule de recrutement.
- Le très bon taux de réussite au pied de Romain Trouilloud. Il revient au bon moment, son frère n’est pas en reste.
- La conquête a encore été à la hauteur malgré un petit passage à vide en mêlée au début du match.
- Le point noir est encore la discipline avec des plaquages qui frisent le carton. Attention !
Prochain match contre Béziers (quatrième) vendredi à 21 heures au Stade des Alpes, j’espère que le public répondra présent pour venir soutenir les Rouge et Bleu qui le méritent amplement !
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