Rugby - Pro D2
« S’ils ont des familles, il faut qu’ils se regardent bien dans une glace » : les mots forts d’Aubin Hueber après la crise au FCG
Présent vendredi après-midi à la conférence de presse de présentation de Jeff Dubois, nouvel entraîneur principal du FCG, Aubin Hueber, qui a parfois été ciblé, en a profité pour évoquer la crise ayant secoué le club. Et il n’a pas mâché ses mots.
Quand on l’a interrogé sur la manière dont il a vécu la crise du FCG, Aubin Hueber s’est raidi. Mis en cause par Nicolas Nadau lors du match à Brive (21-24) , le Tarbais a également été ciblé au cœur des turbulences. Une situation qu’il a eu du mal à accepter.
« Ce n’est jamais très marrant à vivre, souffle-t-il. Surtout quand vous êtes pris à partie pour des choses que vous ne comprenez pas. Après, je sais que le poste que j’occupe est à un poste à critiques plus qu’à éloges. C’est comme quand j’étais joueur en tant que numéro 9, j’étais exposé à de la critique. Donc je suis plutôt habitué à ça. Je dirais que cela glisse sur mes épaules. Cela glisse moins sur ma famille et sur mes enfants, c’est sûr et certain. D’ailleurs, je remercie les gens qui ont été très adorables avec moi sur les réseaux sociaux. Je suis ironique bien sûr. S’ils ont des familles, il faut qu’ils se regardent bien dans une glace. Pour comprendre ce qu’ils ont fait. Moi, je suis là pour le FCG. Je ne suis pas là pour Aubin Hueber. Ma carrière de joueur et d’entraîneur est derrière moi. Quand Patrick Goffi m’a sollicité, je suis venu avec grand plaisir. Mon petit frère Franck avait fait une finale ici en 1993. Je crois en ce grand club, car le FCG est un grand club, je crois en ses supporters. On est là pour le club, pour le rugby et pas pour les personnes. »
« S’ils ont des familles, il faut qu’ils se regardent bien dans une glace » : les mots forts d’Aubin Hueber après la crise au FCG
Présent vendredi après-midi à la conférence de presse de présentation de Jeff Dubois, nouvel entraîneur principal du FCG, Aubin Hueber, qui a parfois été ciblé, en a profité pour évoquer la crise ayant secoué le club. Et il n’a pas mâché ses mots.
Quand on l’a interrogé sur la manière dont il a vécu la crise du FCG, Aubin Hueber s’est raidi. Mis en cause par Nicolas Nadau lors du match à Brive (21-24) , le Tarbais a également été ciblé au cœur des turbulences. Une situation qu’il a eu du mal à accepter.
« Ce n’est jamais très marrant à vivre, souffle-t-il. Surtout quand vous êtes pris à partie pour des choses que vous ne comprenez pas. Après, je sais que le poste que j’occupe est à un poste à critiques plus qu’à éloges. C’est comme quand j’étais joueur en tant que numéro 9, j’étais exposé à de la critique. Donc je suis plutôt habitué à ça. Je dirais que cela glisse sur mes épaules. Cela glisse moins sur ma famille et sur mes enfants, c’est sûr et certain. D’ailleurs, je remercie les gens qui ont été très adorables avec moi sur les réseaux sociaux. Je suis ironique bien sûr. S’ils ont des familles, il faut qu’ils se regardent bien dans une glace. Pour comprendre ce qu’ils ont fait. Moi, je suis là pour le FCG. Je ne suis pas là pour Aubin Hueber. Ma carrière de joueur et d’entraîneur est derrière moi. Quand Patrick Goffi m’a sollicité, je suis venu avec grand plaisir. Mon petit frère Franck avait fait une finale ici en 1993. Je crois en ce grand club, car le FCG est un grand club, je crois en ses supporters. On est là pour le club, pour le rugby et pas pour les personnes. »